Nase : Les pets
(Zaz : La fée) Lien youtube
Aussi vrai qu'un pet arrive rarement seul, voici une deuxième parodie sur ce thème. Les flatulences et la poésie de Zaz ne font finalement pas si mauvais ménage.
Chanson originale : Les Pets :
Moi aussi j'ai une fée chez moi Moi aussi j’fais des pets chez moi
Sur les gouttières ruisselantes De ma gouttière béante
Je l'ai trouvée sur un toit J’les sens s’échapper de moi
Dans sa traîne brûlante Dans leur traîne brûlante
C'était un matin ça sentait le café Tous les matins avant le café
Tout était recouvert de givre De ma gazinière ils sortent libres
Elle s'était cachée sous un livre Leur odeur d’un coup m’enivre
Et la lune finissait ivre Dès que ma lune les délivre
Sur les gouttières ruisselantes De ma gouttière béante
Je l'ai trouvée sur un toit J’les sens s’échapper de moi
Dans sa traîne brûlante Dans leur traîne brûlante
C'était un matin ça sentait le café Tous les matins avant le café
Tout était recouvert de givre De ma gazinière ils sortent libres
Elle s'était cachée sous un livre Leur odeur d’un coup m’enivre
Et la lune finissait ivre Dès que ma lune les délivre
Moi aussi j'ai une fée chez moi Moi aussi j’fais des pets chez moi
Et sa traîne est brulée Et quand je vais bosser
Elle doit bien savoir qu'elle ne peut pas, J’vais souvent aux toilettes à grands pas, Ne pourra jamais plus voler Impatiente de les libérer
D'autres ont essayé avant elle Et quand j’accueille la clientèle
Avant toi une autre était là J’évite qu’ils parfument mes pas
Je l'ai trouvée repliée sous ses ailes Mais ils restent mes compagnons fidèles Et j'ai cru qu'elle avait froid Ils me réchauffent quand j’ai froid
Et sa traîne est brulée Et quand je vais bosser
Elle doit bien savoir qu'elle ne peut pas, J’vais souvent aux toilettes à grands pas, Ne pourra jamais plus voler Impatiente de les libérer
D'autres ont essayé avant elle Et quand j’accueille la clientèle
Avant toi une autre était là J’évite qu’ils parfument mes pas
Je l'ai trouvée repliée sous ses ailes Mais ils restent mes compagnons fidèles Et j'ai cru qu'elle avait froid Ils me réchauffent quand j’ai froid
Moi aussi j'ai une fée chez moi Moi aussi j’fais des pets chez moi
Depuis mes étagères Depuis mon embarcadère
Depuis mes étagères Depuis mon embarcadère
Elle regarde en l'air Ils s’en vont en l'air
La télévision en pensant Tels des avions filants,
Que dehors c'est la guerre En partance pour la guerre
Elle lit des périodiques divers Je lis des périodiques l’hiver
Et reste à la maison Quand j’reste à la maison
Et reste à la maison Quand j’reste à la maison
A la fenêtre, comptant les heures Et je sens naître la puanteur
A la fenêtre, comptant les heures Et je sens naître la puanteur
Moi aussi j'ai une fée chez moi Moi aussi j’fais des pets chez moi
Et lorsqu'elle prend son déjeuner Et lorsque j’ prends mon p’tit déjeuner
Elle fait un bruit avec ses ailes grillées J’me fais plaisir avec du pain grillé
Et je sais bien qu'elle est déréglée Et leur senteur s’en trouve cachée
Mais je préfère l'embrasser Mais je préfère les enflammer,
Et lorsqu'elle prend son déjeuner Et lorsque j’ prends mon p’tit déjeuner
Elle fait un bruit avec ses ailes grillées J’me fais plaisir avec du pain grillé
Et je sais bien qu'elle est déréglée Et leur senteur s’en trouve cachée
Mais je préfère l'embrasser Mais je préfère les enflammer,
Ou la tenir entre mes doigts Les faire jaillir Entre mes doigts
Moi aussi j'ai une fée chez moi Moi aussi j’fais des pets chez moi
Qui voudrait voler Pourquoi m’en priver,
Moi aussi j'ai une fée chez moi Moi aussi j’fais des pets chez moi
Qui voudrait voler Pourquoi m’en priver,
Mais ne le peut pas... Quand ailleurs j’peux pas...
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